La maison de Sarah
Résumé
Le pavillon où emménage la famille Ritter, en ce mois de juillet 1934, s'appellera Beau Sourire. Le sourire, c'est celui de Sarah. Elle a douze ans, elle est jolie comme un coeur. Un père travailleur, une mère enjouée, deux grands frères : Sarah est heureuse. Mais avoir douze ans en 1934, c'est en avoir dix-huit en 1940. Après le temps de la TSF, du Petit Echo de la Mode, du rôti du dimanche et des projets d'avenir, viennent les grèves, les émeutes, et la tragédie familiale. Puis la tragédie mondiale. Etre amoureuse, en 1940, c'est découvrir l'angoisse. Surtout quand on aime un réfugié tchèque. Et s'appeler Sarah Ritter, c'est apprendre la peur. Même si Ritter est un nom alsacien... Pourtant, au bout du chemin, reste la villa Beau Sourire. Meurtrie, comme Sarah, comme l'Europe entière. Mais solide, comme l'espoir…
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