La bonne rosée
Résumé
Après Les ventres jaunes. Poursuivant son émouvante et forte chronique auvergnate, Jean Anglade reprend ici l'histoire de sa ville natale, Thiers, capitale de tout ce qui taille, coupe et tranche, et de sa singulière population si jalouse et si tenace, si indépendante et si peu conformiste. Au mariage d'Auguste Pitelet et de Toinette, le curé a lancé Un bon enrichissement qui ne nuit à personne peut être considéré comme un don du ciel au même titre que la bonne rosée qu'il répand sur nos semis. Une leçon qui ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd. Devenus patrons à leur tour, les Pitelet garderont leurs galoches et leurs tabliers de cuir, leur franc-parler et leur harmonie. Ces nouveaux riches resteront toujours des anciens pauvres.
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