Une partie de campagne
Résumé
Il n'est pas mort au printemps mais il s'est éteint au bord de l'été. Coco ! Petit cheval fourbu, affamé devant un carré d'herbe qu'il ne pouvait atteindre. Mort sans histoire comme le Vieux qui n'en eut plus mais n'en finit pas d'agoniser. Comme le gueux qu'on appelle Cloche sans penser qu'il puisse avoir faim. Chez Maupassant, la mort coule, semblable à l'eau. Silencieuse et perfide. Démon qu'il faut nourrir et qui attire avec nonchalance. Vertige de l'eau, vertige du désir, intimement mêlés comme dans La femme de Paul où le fleuve et l'amante ne sont que maléfices. Des nouvelles d'ombres et de lumière ; contes du jour et de la nuit, qu'affectionne l'auteur.
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