Une minute pour conclure
Résumé
Une minute pour conclure comme à la télé, quand on a vécu 28500 jours (et autant de nuits) entre 1937 et 2017, c'est bien court et bien présomptueux ! Tel est pourtant le défi que se lance le journaliste Ivan Levaï, cheval échappé d'une Hongrie blessée à mort par Hitler et Eichman, avant d'être écrasée par Staline et ses successeurs. L'auteur a été épargné grâce à sa mère qui a fui Budapest, avant l'orage antisémite, et franchi le 26 février 1939 la frontière séparant la France de l'Allemagne nazie. Orphelin en 1941 à Paris, Ivan Levaï a peu de souvenirs de maman Lili, la réfugiée magyar qui lui a donné la vie. La France a fait le reste ! C'est elle qu'il regarde aujourd'hui, avec amour et reconnaissance. Parce qu'il doit tout à la République, son peuple citoyen, ses dirigeants, ses artistes, ses philosophes, ses éducateurs, ses entrepreneurs, ses syndicalistes et ses médias. Trois quarts de siècle de choses vues, entendues, lues, relues et rapportées analysées et commentées, au micro de toutes les radios généralistes, de Charles de Gaulle à François Hollande. Voilà ce qui nourrit son optimisme de combat ; et justifie aussi sa confiance dans l'avenir européen de la plus douce et de la plus belle des France. Dans ce livre, le petit cheval échappé du Danube trotte désormais sans galoper. Heureux d'avoir survécu si longtemps et d'avoir observé au plus près les stars du présent et du passé en cherchant à deviner celles de l'avenir... il raconte les coulisses et l'essentiel. Ivan Levaï dit aussi ce qu'il doit aux femmes de sa vie. Les épouses, les amies, les protectrices telles Françoise Giroud et Edmonde Charle-Roux. Outre celles qui les ont précédées dans l'approche journalistique très moderne de la réalité : la Contesse de Boigne et la Marquise de Sévigné. Les ouvrages de ces plumes illustres n'ont jamais quitté sa table de chevet.
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