La Disparition
Résumé
Trahir qui disparut, dans La disparition, ravirait au lisant subtil tout plaisir. Motus donc, sur l'inconnu noyau manquant - un rond pas tout à fait clos finissant par un trait horizontal -, blanc sillon damnatif où s'abîma un Anton Voyl, mais où surgit aussi la fiction. Disions, sans plus, qu'il a rapport à la vocalisation. L'aiguillon paraîtra à d'aucun trop grammatical. Vain soupçon : contraint par son savant pari à moult combinaisons, allusions, substitutions ou circonclusions, jamais G.P. n'arracha au banal discours joyaux plus brillants ni si purs. Jamais plus fol alibi n'accoucha d'avatars si mirobolants. Oui, il fallait un grand art, un art hors du commun, pour fournir tout un roman sans ça ! B. Pingaud.
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