L'Amour au pluriel
Résumé
Toute femme est un logis dont la porte dérobée a pour serrure l'anus. Après que l'on ait utilisé, avec plus ou moins de bonheur, toutes les clef et fausses caroubles, fait appel à tous les passes et mots de passe, prononcé divers sésames, il n'est pas superflu, pour peu que l'on ressente le désir d'être dans un corps autrement que de passage ou en villégiature, de coller son œil - et pourquoi pas son oreille - à l'orifice, sans vergogne ni discrétion. Que de découvertes alors, si l'on sait regarder et écouter ! Ensuite, Il appert explicitement que le verbe aimer ne peut efficacement se conjuguer qu'au pluriel. Et vous n'oublierez plus les ballets pluriels de Clio avec Nelly la ravageuse, ni non plus (surtout pas !) lorsqu'ils se voient augmentés de Lucile la prude salutiste, après son déniaisement pénétrant et définitif par le narrateur toujours présent - pour son plaisir et pour le nôtre.
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