Mortels lundis
Résumé
Dès la première page, le héros est adopté un journaliste traînant son spleen dans une ville glacée, soumise aux trombes d'eau et que ses errances poussent comme par une sardonique fatalité à découvrir par trois fois les cadavres de jeunes femmes étranglées... L'humour grinçant n'égratigne pas la tradition d'une série noire digne de la littérature comme on l'aime. (Jean-Luc Douin, Télérama.) S'inscrivant dans la plus pure tradition du genre, Dan Turèll s'impose comme un poète de la grande ville. Musicien de l'ombre, il égrène les notes mélancoliques de son blues marginal loin des beaux quartiers et des restaurants chic. (Danish Literary Magazine.) Meurtres louches en série dans Copenhague. Noir mais toujours drôle. (Pages des libraires.) Un divertissement de qualité avec cette touche d'exotisme nordique qui lui confère tant de saveur. (La Montagne.)
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