Le joueur
Résumé
Pour retrouver le ton de Dostoïevski, il ne suffit pas de restituer la narration, il faut aussi, comme l'explique André Markowicz, auteur de la présente traduction, rendre ce que l'écriture a de particulier : l'oralité, la maladresse recherchée et la structure poétique. L'effet obtenu est particulièrement visible avec le Joueur, qui met en scène un possédé à la voix haletante, vivante, familière, parfois vulgaire, à l'image de ces passions qui se ressemblent toutes et peut-être n'en font qu'une (comme la note dans sa lecture André Comte-Sponville). Voici donc, dans cette nouvelle traduction qui lui donne une inoubliable résonance, l'exceptionnel roman d'un écrivain qui faisait de la haine de l'élégance une doctrine de renaissance du peuple russe.
Vos avis
Aucun avis sur Le joueur. Soyez le premier à partager votre avis !
Déposer mon avis