Le dico de la contrepèterie

Littérature humoristique
Livre non disponible à l'échange
Éditeur : Seuil
Parution : 21 novembre 1997
Langue : Français
Format : Grand/Moyen
Nb. de pages : 540 pages
Poids : 485 g

Résumé

En cette époque de langue de bois, une petite phrase comme Les nouilles cuisent au jus de cane titille agréablement nos oreilles. Et notre fibre contrepétulante. Bientôt jaillit le rire libérateur. Trouver le sens caché illumine la grisaille quotidienne lorsqu'on apprend, par exemple, que Le chef de cabinet a le plus gros malus du Finistère. Le mot malus a irrésistiblement attiré Finistère et lui a échangé un m contre un f. Il aurait pu aussi bien le faire avec fiches, fou, Forbach... Sachons détecter et faire bon usage de tels mots contrepé-togènes : acculer, balcon, berge, biaiser, biner, butte, caisse, concierge, consensus, délation, fine, fouille, génisse, mine, nouilles, phlébite, poncho, poutre, roussette, scorpion, site, tennis, vergeture, et bien d'autres. Ce dico nous y aide. Il dresse une liste alphabétique des contre-pétogènes, chacun accompagné de son cortège de mots contre-pétophiles aptes à l'échange contrapétiques. Chaque entrée comporte sa ou ses définitions contrapétiques , véritables variations sur un thème. C'est bien un authentique dictionnaire de la contrepèterie, le premier du genre, que l'on propose ici. C'est, en prime, un recueil de plusieurs milliers de contrepèteries, la plupart inédites. Après les classiques pages roses , pleines de jeux contrapétiques et de contrepèteries à thèmes (politiques, sport, religion, sciences, etc.) figurent des noms propres savoureusement contrepétogènes comme : Adour, Béziers, les Cénobites, Chine, Faverges, Fez, Forbach, Garches, Job, Montcuq, Nippons, Pornic, Puteaux, Soustons, Titicaca... Ou encore notre sauteur national Guy Drut qui se change en dix grues .

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