Mes dernières pensées sont pour vous
Résumé
Au terme d'une année de réflexion préalable qui lui a pris plus de temps que l'écriture, l'auteur de ce modeste ouvrage a enfin compris ce que Pascal voulait dire lorsqu'en 1647 il faisait amende honorable à la fin d'une très longue missive adressée à une correspondante : "Excusez-moi. Mais je n'ai pas eu le temps de faire plus court." Peut-être pour se faire pardonner d'avoir dans l'exercice du journalisme tant tiré à la ligne en délayant sur trois feuillets ce qu'il aurait pu exprimer en trois lignes, Philippe Bouvard a donc choisi la concision comme ultime cheval de bataille. Ainsi, pour cet ouvrage qui constitue son chant du cygne, a-t-il parié qu'il pouvait traiter en trois lignes des sujets méritant souvent trois feuillets. Avec le souhait de divertir et de donner à penser aux lecteurs, ainsi que l'ambition de voir un jour l'un de ses mille trois aphorismes se transformer en sujet du bac !
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