Lettres corsanes
Résumé
S'ils veulent leur indépendance, qu'ils la prennent... (Raymond Barre, ancien Premier ministre) On a peur de la population corse, qui n'est pas instinctivement du côté de la loi [...]. Il faudra peut-être, un jour, envisager de se séparer de cette banlieue perdue au milieu de la Méditerranée elle ne mérite pas la France. (Courrier des lecteurs, in le Figaro, 13 mai 1999) Ces opinions appelaient une réplique, que précisément les Lettres corsanes leur réservent ; mais l'auteur l'a voulue sans acrimonie, appliquant la vertu prêtée à l'ironie par le grand Anatole France L'ironie [...] n'est point cruelle... Mais elle me permet de me moquer des sots et des méchants que, sans cela, j'aurais la faiblesse de haïr Voilà ce que se veut cet ouvrage une réponse du berger (corse) à la bergère (continentale), l'auteur y brossant le tableau déformé et réprobateur d'une île vue par le petit bout de la lorgnette d'outre-Méditerranée. Cela dit, le lecteur comprendra sans peine que cet exercice n'est qu'un renvoi de balle insulaire et qu'il ne saurait être interprété comme mettant en cause le principe qu'il n'y a nulle incompatibilité à être corse d'abord et français toujours.
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